Extrait de la 3ème édition de l’étude ‘Adoption de la téléphonie dans le Cloud’ réalisée par SpokingPolls pour le compte de Mitel entre novembre 2019 et janvier 2020 sur un total de 1108 répondants d’entreprises européens répartis dans 8 pays et dans des entreprises de toutes tailles.
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LES CRITÈRES DE CHOIX EN MATIÈRE D’ARCHITECTURE CLOUD
Les réponses données à cette question sont assez prévisibles : les entreprises souhaitent majoritairement (31 %) une solution de cloud privé. On peut y ajouter les 16% de celles qui souhaitent un cloud privé hébergé sur les datacenters de leurs partenaires habituels. Face à ces 47 % en faveur du cloud privé, 22 % souhaitent déployer une architecture de cloud hydride. A noter les 20 % de répondants mentionnant le choix d’une solution de cloud public ; un pourcentage que l’on peut juger élevé par rapport à la réalité du marché pour ce type de solution mais qui témoigne de la montée en puissance d’une téléphonie de services dans le cloud notamment pour des entreprises de plus petite taille.
LA RELATION CONTRACTUELLE, UN ÉLÉMENT CLÉ POUR LES ENTREPRISES
Parmi tous les résultats de cette étude, c’est cette question qui a généré le taux de réponse le plus élevé à un critère de choix. Les entreprises européennes interrogées sont 46% à souhaiter pouvoir changer de fournisseur si leur contrat de service n’est pas respecté. Par ailleurs, deux autres critères ressortent dans les réponses données à cette question : la durée du contrat et l’absence de pénalité. Sans surprise, le développement du cloud et des applications en mode SaaS a installé dans l’esprit de la plupart des entreprises le besoin de bénéficier d’un modèle contractuel plus libre et ouvert. Cependant, les réponses données à cette question sont à croiser avec les besoins de résilience et de disponibilité des solutions de téléphonie en mode cloud qui ont été exprimés sur d’autres questions : il y a là sans aucun doute une contradiction à gérer pour les fournisseurs de technologies mais aussi pour les partenaires. On notera d’ailleurs que, dans les évolutions observées dans ce domaine, la qualité de service et la résilience se facturent par des services supplémentaires et non par un changement de la relation contractuelle.